vineri, 6 martie 2009

cand nizar qabbani si majda al roumi se intalnesc....

Il me fait écouter, quand il me déplace
Des mots ne sont pas comme d'autres mots
Il me prend, des dessous mes bras
Et il me seme, dans un nuage éloigné
Et la pluie noire tombent de mes yeux
C'est des torrents, torrents
Il me porte avec lui, il me porte
A une soirée des balcons parfumés
Et je suis comme un enfant dans des ses mains
Comme une plume portée par le vent
Il porte pour moi sept lunes dans ses mains
Et un paquet de chansons
Il me donne le soleil, il me donne l'été
Et les bandes d'hirondelles
Il me dit que je suis son trésor
Et que je suis égal aux milliers d'étoiles
Et que je suis la plus belle qu'il a vu des peintures
Il me dit des choses qui me rendent étourdi
Qui m'incitent à oublier la danse et les étapes
Il me dit des mots qui retournent mon histoire
qui font de moi une femme en quelques secondes
Il construit des châteaux des imaginations
Dans lesquelles je vis... pendant des secondes...
Et il me racompagne à ma table
Il me laisse seule avec rien
Rien excepté des mots

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